Depuis 2011, je développe un projet sur les caves coopératives, m’intéressant aux bâtiments et à leurs caractéristiques propres,
formelles et esthétiques, et plus largement au paysage dans lequel ils s’inscrivent, dans une double perspective historique et contemporaine,
d’un point de vue artistique plus que patrimonial.
Les caves coopératives font partie intégrante du paysage languedocien. Depuis une vingtaine d’années, des crises successives ont touché l’activité viticole.
Les bâtiments originels sont ainsi, pour certains, peu à peu abandonnés, parfois détruits ou réaménagés, au rythme de la reconversion agricole
et de la croissance urbaine. C’est cette architecture vernaculaire – sa persistance, sa désaffection ou sa disparition progressive – qui m’intéresse.
Il ne s’agit pas de réaliser un inventaire systématique, ni une recension selon un protocole établi, mais de poser un regard, de les positionner
en tant qu’unité du paysage, sans les isoler de leur environnement.
 

 

 

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